– La reconnaissance du travail du sexe comme un travail et la nécessité de le décriminaliser pour obtenir les mêmes droits du travail que les autres travailleuse.eur.s;
– La reconnaissance que le travail du sexe prend place dans un système capitaliste, néo-colonial et cishétéro-patriarcal; la reconnaissance que les femmes, les personnes racisées, les personnes trans/queer/non-conformes dans le genre, les personnes migrantes et celles en situation de handicap sont surreprésentées dans le travail du sexe, en raison notamment des barrières à l’emploi et à de bons emplois dans le système capitaliste;
– L’auto-représentation des travailleuse.eur.s du sexe et leur droit de parler chacun.e de leur réalité et l’auto-organisation non-hiérarchique qui permet la mise en oeuvre de réponses et d’actions directes;
– La mobilisation de nos collègues dans nos milieux de travail est la base de l’organisation vers de meilleures conditions;